Charles-Henri Gallois, président de Génération Frexit, présente notre mouvement et ses objectifs dans l’émission d’André Bercoff.
Charles-Henri Gallois a répondu ce midi aux questions d’André Bercoff, à l’approche de l’anniversaire de la signature de l’Acte unique européen du 17 février 1986 :
— sur la contribution nette de la France à l’UE,
— sur le coup faramineux du plan de relance,
— sur les échecs de l’UE, qui jonchent toute l’histoire de la construction européenne jusqu’à aujourd’hui.
Le président de Génération Frexit a rassuré André Bercoff sur le retour à une monnaie nationale, le franc. Ses avantages pour notre économie, nos industries et nos emplois sont considérables, contrairement aux messages de peurs qui sont souvent diffusés aux Français.
« Que l’on soit pour ou contre le Frexit, les conditions d’appartenance à l’UE ont largement changé depuis 1992. Tout un tas de pans de la souveraineté française ont été transférés à l’UE sans demander l’avis des Français. »
Le bilan de l’Union européenne doit être fait, de façon démocratique, bientôt 30 ans après la ratification du traité de Maastricht et 11 ans après celle du traité de Lisbonne.